Visitors look at a Project Loon balloon at a museum in Christchurch, New Zealand:
Test de lancement récent du projet ambitieux sur l'île sud de la Nouvelle-Zélande a généré beaucoup de buzz médiatique, mais il s'avère que les plates-formes à haute altitude (HAP) ont été autour pendant un moment.
Il ya dix ans, l'Union européenne a financé le projet Capanina à fournir du haut débit à partir de plates-formes à haute altitude dans la stratosphère. Retour en 2005, il a produit avec succès l'accès sans fil à large bande à des distances allant jusqu'à 37 miles (60 kilomètres) d'un ballon flottant dans la stratosphère au-dessus nord de la Suède.
Tim Tozer, expert en sans fil, satellite et communications HAP à l'Université de York en Grande-Bretagne, faisait partie de cet effort. Il a parlé avec National Geographic sur l'état actuel de la science et l'avenir prometteur au-delà des ballons de Google.
Est-ce une idée "loufoque" ou un aperçu de l'avenir?
Loon Le projet de Google a déjà été précieux en termes d'amener les gens s'intéressent à ce qui pourrait être possible, dit Tozer. "Je serais très étonné si ce système s'est développé en quelque chose en soi», dit-il. "Je pense que les projets de ce genre sont très encourageants en termes de quelqu'un, quelque part, à être très sérieux à ce sujet et consacrer les fonds nécessaires pour développer le type d'engin aérien qui peut le faire correctement.
"Beaucoup de gens ont sauté le pistolet il ya 15 ans postulant sur les types de PAD-« miracle métier »qui pourrait rester, à peu près au même endroit, pendant des mois ou des années et réaliser tous les types de charges utiles et d'instruments. Le problème est que comme un projet de l'aérospatiale ces choses n'existent pas encore vraiment. Alors que tout le monde a depuis réalisé, c'est que vous ne pouvez pas commencer grand. Ce serait bien si vous pouviez, mais vous aurez à y arriver de façon incrémentale avec des projets de développement à petite démonstration et qui peut genre de prouver la technologie. "
Pourquoi ne pas simplement s'en tenir aux satellites?
Les satellites ont révolutionné les communications, les notes de Tozer, mais ne sont pas sans limites. "Il n'y a tout simplement pas assez spectre satellite pour tout le monde pour tout le monde dans le monde pour faire Internet haut débit par satellite», dit-il, "et si vous voulez des débits élevés, vous avez besoin de grandes antennes sur le terrain." D'autres limitations incluent le coût, lanceurs disponibles, et des créneaux orbitaux en orbite basse de la Terre de plus en plus encombré.
Couverture d'un réseau de plates-formes stratosphériques peut être moins cher que les satellites et plus souple que bien mieux pour être déployé rapidement où et quand les plates-formes sont nécessaires.
"Vous pourriez avoir plates-formes assis quelque part dans un entrepôt, et dans les 24 heures vous pouvez les charger avec tout ce dont vous avez besoin et de les voler où ils sont nécessaires», dit Tozer.
«Pensez à l'ouragan Katrina», dit-il. "Si nous avions eu cette capacité, nous aurions pu voler dans et rapidement fourni toutes les télécommunications de sauvegarde nécessaires pour remplacer l'ensemble du lot qui a été détruit. Vous ne pouvez pas diriger satellites autour de cette façon. Vous ne pouvez pas facilement redéployer grandes quantités de la capacité rapidement avec des satellites, et si vous pouviez le faire, vous n'aviez pas les moyens de le faire pendant très longtemps. "
Projet ABSOLUE de l'Union européenne étudie actuellement l'utilisation de stations de aérostats captifs en cas de catastrophe.
Ne seront pas les ballons simplement flotter au loin?
Loon les ballons de Google sont orientables par des algorithmes informatiques destinés à conserver dans les bons courants. Il semble probable qu'ils vont s'éloigner dans un temps relativement court, dit Tozer. Mais les experts sont à la conception des systèmes de travail qui ne serait pas.
"Ce que nous proposons pour les plates-formes à haute altitude est une altitude de peut-être 20 km [12.5 miles ou 80.000 pieds]», explique Tozer, "au-dessus des problèmes de contrôle de la circulation aérienne, où les vents sont très nettement réduits. Mais vous aurez toujours besoin d' «maintien à poste», ce qui signifie hélices ou quelque chose pour garder l'unité dans un seul endroit. "
Cela signifie un besoin de puissance, il ajoute que nécessitera probablement un certain type de panneau solaire. "Cela a été étudié au nième degré scolaire, mais personne ne le faire réellement très à l'instant."
Ne pas les militaires utilisent cette technologie?
L'armée fait beaucoup usage du véhicule aérien sans pilote technologie (UAV), des notes de Tozer, mais ces systèmes sont coûteux, nécessitent beaucoup d'infrastructures sur le sol, et les vols de durée limitée: quelques jours tout au plus l'offre. "Pour les dispositions de communication graves, ils peuvent devenir ridiculement cher», dit-il.
Comme alternative, les systèmes de ballon captif ont déjà trouvé leur place dans le domaine, en aidant combattants dans des endroits éloignés comme l'Afghanistan. "Vous pouvez mettre ces ballons sur une longue chaîne et exécuter alimentation et les communications jusqu'à l'attache», explique Tozer.
Les systèmes fournissent des communications rapides, peu coûteux et efficaces, mais ils ne seraient pas pratique dans de nombreux endroits. «Je comprends Afghanistan est pleine de ces aérostats captifs», dit-il. "Out dans certaines régions et plus généralement à distance de ces systèmes peuvent être utilisés, mais aucun avion dans le voisinage pourrait être un gros problème parce attaches seraient à leur manière."
Même les systèmes flottants doivent se déplacer de haut en bas dans l'espace aérien occupé.
Mais l'armée américaine a aussi ses yeux sur la technologie des communications ballon en vol libre. En Octobre 2012, le US Army espace et le Commandement de la défense antimissile / Armée Forces Strategic Command testé la plateforme de retransmission militaire SkySat de combat à Colorado Springs, au Colorado. Ballons flottant à 80.000 et 30.000 pieds ont établi un lien de communication radio de poche de 150 miles de là.
Comment facile ou non, est l'extension de ce système en place?
Un grand obstacle au développement de systèmes HAP est la question de la taille elle-même et l'ingénierie défis qu'il représente.
"Si vous voulez offrir un service Internet à des milliers d'utilisateurs, vous avez besoin d'une charge assez trapu là-haut», dit Tozer. «Pensez à quelque chose qui pourrait s'asseoir sur un tour à la fin de votre rue, avec une armoire d'équipement et un grand mât. Si vous voulez le coller dans le ciel, ça va peser un peu."
D'autres questions lourdes comprennent la production d'électricité et les hélices ou tout autre équipement pour aider à garder l'unité dans laquelle il est censé être. "Charges utiles expérimentales légers sont une chose," dit-il. "Mais quand vous faites des sommes, ces choses vont devoir être assez grand si vous voulez qu'ils fournissent un service commercial, ou bien vous allez avoir besoin d'un très grand nombre d'entre eux."
En dépit de ces défis, et probablement le refoulement d'autres intervenants aériennes allant de l'industrie des communications par satellite pour les compagnies aériennes UAV méfier, Tozer croit que le jour viendra où les communications sont en effet livrés à partir de la stratosphère. Pas par les ballons de Google, qui, selon lui, ne peut fonctionner que pendant une courte période avant de dérive ou dégonfler, mais avec un lineup de la prochaine génération de plates-formes élévatrices à venir.
«Je suis très convaincu que, finalement, tout cela peut être très lent aller, cela va travailler dans le commerce. L'idée de drones dans la stratosphère excite les gens. Il ya un besoin pour le service et beaucoup d'espace là- donc finalement je pense que nous allons utiliser cet espace ".
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